Avec cet article, je vous avais présenté le blog de Loïc : Aéro-modélisme.com .
Aujourd’hui, je vous fais part d’un de ces articles dont le sujet est des plus intéressants pour qui s’intéresse à Catia V5 et sa formidable histoire.
Francis Bernard, considéré comme le père de Catia s’est confié à lui pour cette interview exclusive.
Je vous laisse le plaisir de lire et de découvrir…
L’histoire de Catia de sa naissance à nos jours par l’un de ses fondateurs Mr Francis Bernard
Bonne lecture : )
Naissance de la maquette virtuelle : l’histoire de Dassault Systèmes et de Catia par son cofondateur
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6 Responses
Bonjour,
ayant débuté la CAO en 1984 sur Strim 100 (développé par Cisigraph), Euclid, puis Catia V5, puis Solidworks (bon, ce n’était pas trop difficile mais c’est une autre histoire), je suis surpris de lire un article sur la naissance de la CAO sans un mot sur Pierre Bézier. Monsieur Bernard n’aurait-il pas un peu tendance à prendre toute la couverture ?
Yves
Bonjour Yves,
Merci pour ce commentaire.
Votre remarque est juste, Mr Bézier aurait pu être cité. Il faut noter toute fois que Catia n’utilise pas directement les courbes de Bézier (par extension les NURBS) dans leur formulation exacte.
Catia utilise une formulation qui lui est propre (les NUPBS). La différence mathématique m’échappe mais il semble que la formulation soit allégée vis à vis des Nurbs au détriment de la précision (bien que grandement suffisante) afin de rendre les calculs plus rapides.
La rapidité des mises à jour, c’est aussi ce qui fait la force de Catia.
à bientôt
Et oui, les « Non Uniform Rational Basic Splines » (non non, je ne suis pas allé voir sur Wikipedia). J’ai débuté la CAO surfacique par une semaine de cours théorique sur les courbes de Bézier (à l’ADEPA, Agence nationale pour le développement de la productique appliquée à Montrouge), les BSplines et les NURBS avant de toucher le moindre clavier. Il fallait en avoir envie à l’époque, mais on quittait la planche à dessin pour entrer dans un autre monde. Mais terminé, j’arrête de faire le vieux *** 😉
Bonne continuation !
En tout cas, ça fait plaisir de rencontrer des gens à qui cela parle et qui les ont touchés du doigt.
Aujourd’hui tout est transparent mais c’est cette connaissance de l’intimité mathématique qui fait la différence dans l’art de manipuler les logiciels CAO … surtout en surfacique.
Au plaisir : )
Bonjour,
Passionné d’histoire et utilisateur de Catia, j’ai lu cet article avec un grand intérêt.
C’est toujours très instructif d’apprendre comment les choses naissent.
Merci pour cette découverte.
Merci pour ce commentaire André,
Je remercie à mon tour Loïc d’avoir fait cette interview.
Tout cela lui revient : )